Il paraît qu’il y a des gens dans un pays lointain qui souffrent beaucoup du froid. Dur d’imaginer que la température là-bas a frôlé les -7 quand il ne fait pas moins de 25°C ici. D’où mon hésitation à écrire ce nouveau post de peur d’en contrarier certains.
Me voilà revenue en Australie depuis un mois. N’ayant pas énormément d’activités, je pensais avoir peu de choses à raconter. Simon et moi sommes à Mornington, une péninsule à une heure de Melbourne. Nous logeons dans une somptueuse maison à 3 étages appartenant à la soeur de Simon. Celle-ci et toute sa petite famille sont partis en road trip en nous laissant les clés.
D’ici un peu plus d’un mois je devrais avoir emménagé dans notre nouveau chez nous. Pour rappel, une maison à Valla Beach, sur la côte Est de l’Australie à 430 km de Brisbane et à 495 de Sydney. Dans la maison voisine et sur le même terrain, habitera Bill, le père de Simon et le généreux bienfaiteur de ce beau projet. Il me tarde de voir cette endroit. J’ai du mal à me projeter dans un lieu que je n’ai pas encore visité.
Les travaux, le jardin, l’aménagement de la maison, les projets rémunérés, tout ça alimente beaucoup nos discussions lors des moments passés dans le jacuzzi ou autour d’une bouteille de vin et d’une délicieuse planche d’antispasti.
Me voilà revenue en Australie depuis un mois. N’ayant pas énormément d’activités, je pensais avoir peu de choses à raconter. Simon et moi sommes à Mornington, une péninsule à une heure de Melbourne. Nous logeons dans une somptueuse maison à 3 étages appartenant à la soeur de Simon. Celle-ci et toute sa petite famille sont partis en road trip en nous laissant les clés.
D’ici un peu plus d’un mois je devrais avoir emménagé dans notre nouveau chez nous. Pour rappel, une maison à Valla Beach, sur la côte Est de l’Australie à 430 km de Brisbane et à 495 de Sydney. Dans la maison voisine et sur le même terrain, habitera Bill, le père de Simon et le généreux bienfaiteur de ce beau projet. Il me tarde de voir cette endroit. J’ai du mal à me projeter dans un lieu que je n’ai pas encore visité.
Les travaux, le jardin, l’aménagement de la maison, les projets rémunérés, tout ça alimente beaucoup nos discussions lors des moments passés dans le jacuzzi ou autour d’une bouteille de vin et d’une délicieuse planche d’antispasti.
Le vin est réputé dans la région. Nous avons fait quelques dégustations dans les vignobles aux alentours. Nos autres activités en dehors de la maison consistent à aller surfer, nager, passer du temps avec les amis que Simon a gardé de Melbourne.
Nous commençons également à collecter des objets qui serviront à décorer notre maison. Grâce aux connaissances de Simon et à son bagou, nous avons récupéré quelques précieux objets qui donneront une touche rustique à notre futur petit nid : anciennes ruches, poteaux en redgum et didgeridoos dont seuls les pros peuvent détecter les défauts.
Lorsque je suis ici, j’essaie de m’exercer à la cuisine qui me manque tant en France. Baguettes et tarte aux fraises sont pour l’instant mes deux meilleures réussites.
Et pour avoir bonne conscience, après mes excès de gourmandise, je passe chaque matin un (trop court) moment à faire du gainage, de la corde à sauter et une leçon de yoga avec Adriene, mon prof de yoga virtuel.
Je profite donc pleinement de ces derniers moments d’oisiveté avant de devoir mettre les mains dans la terre. Il règne ici une ambiance de mois d’Août en France. Le climat près de Melbourne est tellement différent du reste de l’Australie. Les odeurs de pins, le vent doux qui rend l’air plus léger, le son des tondeuses à gazon suivit des effluves de pelouses fraîchement tondues et les cris des enfants qui jouent dehors jusqu’à tard le soir en attendant le coucher du soleil.
Je discutais récemment avec une australienne qui me rappelait que les australiens n’avaient que 4 semaines de congés payés par an. J’ai alors ressenti une sensation désagréable qui m’a rappelée cette époque où j’attendais avec impatience mes prochaines vacances et regrettais qu’elles passent aussi vite. Voilà maintenant un an que j’ai quitté ce système. Je ne sais pas trop ce que l’avenir me réserve à Valla Beach mais si grâce à cette incroyable opportunité je pouvais vivre sans trop de dépenses superflues en contact privilégié avec la nature, je me réveillerai chaque matin en pensant que je suis une sacrée veinarde.
Je profite donc pleinement de ces derniers moments d’oisiveté avant de devoir mettre les mains dans la terre. Il règne ici une ambiance de mois d’Août en France. Le climat près de Melbourne est tellement différent du reste de l’Australie. Les odeurs de pins, le vent doux qui rend l’air plus léger, le son des tondeuses à gazon suivit des effluves de pelouses fraîchement tondues et les cris des enfants qui jouent dehors jusqu’à tard le soir en attendant le coucher du soleil.
Je discutais récemment avec une australienne qui me rappelait que les australiens n’avaient que 4 semaines de congés payés par an. J’ai alors ressenti une sensation désagréable qui m’a rappelée cette époque où j’attendais avec impatience mes prochaines vacances et regrettais qu’elles passent aussi vite. Voilà maintenant un an que j’ai quitté ce système. Je ne sais pas trop ce que l’avenir me réserve à Valla Beach mais si grâce à cette incroyable opportunité je pouvais vivre sans trop de dépenses superflues en contact privilégié avec la nature, je me réveillerai chaque matin en pensant que je suis une sacrée veinarde.